CSEC du 29 mars 2021 (reprise du CSEC du 24 mars 2021)
Avant d’aborder le point à l’ordre du jour concernant la situation sanitaire au sein de notre établissement, plusieurs organisations prennent la parole, notamment pour réagir suite à la diffusion de l’émission « Ma vie de conseillère à Pôle emploi » dans Envoyé spécial sur France 2. Pour FO, la principale actualité est plus la réforme de l’assurance chômage à venir que ce reportage. Le SNU précise qu’« Il n’y a pas que du faux dans le reportage », l’OS nous explique que « c'est normal de se faire attaquer par ce genre d’émission, c'est la course à l'audience, c’est le buzz qui veut cela » et « Si on comme à s’offusquer de ce genre d’émission, on devrait également s’offusquer d’autres sujets, comme la caricature faites des jeunes dans les banlieues ». Le SNU considère que certaines OS [dont la CFE-CGC] ont sur-réagi…La CGT rejoint la position de FO.
Situation sanitaire
Intervention du président à compter de mercredi ; ce qui est présenté ce jour est à date et devra être adapté compte tenu des annonces.
Chiffres à la semaine 11 :
- 50 % des agents en présentiel ou en TLT
- 154 agents en ABAP
- 120 cas contact
- 97 cas COVID
On reste toujours en PRA 2
Réponses de la direction aux questions posées :
- Oui on doit renforcer le TLT ; les données fournies s’arrêtent à la semaine 11 avant le confinement des premiers départements ; la DG va renforcer les messages aux établissements pour monter le TLT au plus haut niveau
- L’équilibre entre présence sur site et assurer le service d’une part et d’autre part le recours au TLT est difficile à trouver
- Les prestations maintenues : MRS et actions collectives en lien avec # tous mobilisés
- Il peut y avoir eu du relâchement compte tenu de la durée de la crise ; la direction fait des rappels aux établissements
- Concernant la vaccination : les médecins du travail ou médecins de prévention (agents publics) sont les médecins habilités ; une communication a été faite par tous les établissements sur intranet ou par mail ; pour les agents éligibles, il peut demander au médecin du travail volontaire de réaliser cette vaccination ; dans ce cas, le code HQ est disponible pour prendre en charge le trajet et le temps de la visite
- La note RH V10 est toujours applicable ; quand les établissements scolaires ferment, les agents doivent prioritairement TLT si les conditions matérielles sont remplies. Pour ceux qui auraient des enfants en bas âge, ils peuvent prendre les jours de congé prévus à la CCN ; si les agences ferment, soit les agents sont en TLT soit jours de garde d’enfants, pour les agents de droit public, ils ont droit à des jours de garde d’enfant également
- Les formations internes sont maintenues sont celles qui sont prioritaires mais elles sont sur la base du volontariat ; une incitation à utiliser les salles déconcentrées pour éviter les déplacements
- Pour les réunions de plus de 6 personnes : on peut réunir plus de 6 personnes si le nombre de m2 est respecté donc potentiellement plus de 6 personnes ; la circulaire qui prévoyait l’interdiction des réunions à plus de 6 personnes ; il faut limiter les réunions de travail internes sauf si cela est impératif ; en sont exclues les formations Pôle emploi et les réunions avec les DE
- Pour compter les cas COVID, on prend en compte tous les cas même ceux contractés dans la sphère privée.
Questions diverses :
- Alerte sur la carte Apetiz : dysfonctionnement pour l’utilisation : la direction demande la région concernée et la chaîne de restauration concernée ; rappel : la carte ne peut être utilisée le dimanche
- Quid de la prise en charge possible par la direction de frais liés au TLT ? la direction revient sur ce sujet
- Quid de la nouvelle organisation concernant 3 régions qui auraient donné des consignes pour réorganiser la prise en charge des appels téléphoniques ? il s’agit d’organisations régionales donc pas de nécessité de saisir le CSEC ; rappel sur les consignes : pour ce qui est des questions GDD, normalement elles sont prises en charge en local ; la direction se rapproche des régions concernées
- Sur les établissements qui inciteraient des salariés proches de 60 ans à faire des ruptures conventionnelles, la direction se rapproche des régions concernées
- Les droits des DE sont prolongés jusqu’au 30 juin ; ils peuvent être interrompus si la situation s’améliore